DOUDOU STYLE #1

Jessy Monlouis-­‐Bonnaire (nom d’artiste Doudou’Style) est peintre graffeuse, illustratrice, animatrice à plusieurs cordes à son art. Elle commence le graffiti en 2006.

Née à Paris en 1984, cette artiste autodidacte rencontre le monde pictural dès son plus jeune âge. Influencée par le graphisme des bandes-dessinées, manga et de tout ce qui l’entoure, Doudou nous propose un univers coloré, sensuel, voluptueux et tropical.

Un monde où la femme et la nature sont au cœur de son inspiration.

DOUDOU STYLE #2

Jessy Monlouis-­‐Bonnaire (nom d’artiste Doudou’Style) est peintre graffeuse, illustratrice, animatrice à plusieurs cordes à son art. Elle commence le graffiti en 2006.

Née à Paris en 1984, cette artiste autodidacte rencontre le monde pictural dès son plus jeune âge. Influencée par le graphisme des bandes-dessinées, manga et de tout ce qui l’entoure, Doudou nous propose un univers coloré, sensuel, voluptueux et tropical.

Un monde où la femme et la nature sont au cœur de son inspiration.

DOUDOU STYLE #3

Jessy Monlouis-­‐Bonnaire (nom d’artiste Doudou’Style) est peintre graffeuse, illustratrice, animatrice à plusieurs cordes à son art. Elle commence le graffiti en 2006.

Née à Paris en 1984, cette artiste autodidacte rencontre le monde pictural dès son plus jeune âge. Influencée par le graphisme des bandes-dessinées, manga et de tout ce qui l’entoure, Doudou nous propose un univers coloré, sensuel, voluptueux et tropical.

Un monde où la femme et la nature sont au cœur de son inspiration.

DOUDOU STYLE #4

Jessy Monlouis-­‐Bonnaire (nom d’artiste Doudou’Style) est peintre graffeuse, illustratrice, animatrice à plusieurs cordes à son art. Elle commence le graffiti en 2006.

Née à Paris en 1984, cette artiste autodidacte rencontre le monde pictural dès son plus jeune âge. Influencée par le graphisme des bandes-dessinées, manga et de tout ce qui l’entoure, Doudou nous propose un univers coloré, sensuel, voluptueux et tropical.

Un monde où la femme et la nature sont au cœur de son inspiration.

DOUDOU STYLE #5

Jessy Monlouis-­‐Bonnaire (nom d’artiste Doudou’Style) est peintre graffeuse, illustratrice, animatrice à plusieurs cordes à son art. Elle commence le graffiti en 2006.

Née à Paris en 1984, cette artiste autodidacte rencontre le monde pictural dès son plus jeune âge. Influencée par le graphisme des bandes-dessinées, manga et de tout ce qui l’entoure, Doudou nous propose un univers coloré, sensuel, voluptueux et tropical.

Un monde où la femme et la nature sont au cœur de son inspiration.

DOUDOU STYLE #6

Jessy Monlouis-­‐Bonnaire (nom d’artiste Doudou’Style) est peintre graffeuse, illustratrice, animatrice à plusieurs cordes à son art. Elle commence le graffiti en 2006.

Née à Paris en 1984, cette artiste autodidacte rencontre le monde pictural dès son plus jeune âge. Influencée par le graphisme des bandes-dessinées, manga et de tout ce qui l’entoure, Doudou nous propose un univers coloré, sensuel, voluptueux et tropical.

Un monde où la femme et la nature sont au cœur de son inspiration.

DOUDOU STYLE #7

Jessy Monlouis-­‐Bonnaire (nom d’artiste Doudou’Style) est peintre graffeuse, illustratrice, animatrice à plusieurs cordes à son art. Elle commence le graffiti en 2006.

Née à Paris en 1984, cette artiste autodidacte rencontre le monde pictural dès son plus jeune âge. Influencée par le graphisme des bandes-dessinées, manga et de tout ce qui l’entoure, Doudou nous propose un univers coloré, sensuel, voluptueux et tropical.

Un monde où la femme et la nature sont au cœur de son inspiration.

KASHINK

Kashink, une des rares femmes très actives dans le mouvement street art/Graffiti, est une personne atypique. Elle porte souvent une moustache, peint d’immenses personnages protéiformes aux yeux multiples, ou des têtes de mort à la mexicaine, le tout dans un style graphique très coloré, loin des références traditionnelles du graffiti féminin girly.

Son travail, qui s’inspire à la fois de ses origines slaves et hispaniques, du Pop art et de l’illustration narrative, est à la fois très présent dans les rues et les galeries où elle expose souvent.
Elle est de plus en plus sollicitée pour présenter ses œuvres à l’étranger (Canada, USA, Europe) et peindre les murs de villes européennes, notamment Londres, Vienne, Ibiza, Bristol, Madrid, Berlin et Paris où elle vit.

Kashink revendique une peinture engagée, partant du principe que peindre dans la rue permet de faire passer de vrais messages à grande échelle. Parmi les thématiques qui lui tiennent à cœur, on trouve des jets tabous dans notre société tels que l’égalité des droits homme/femme, l’homosexualité, la religion, la finitude…
Elle réalise régulièrement des fresques pour l’égalité des droits (Act Up) et intervient bénévolement pour des associations telles que la Voix de l’Enfant et Emmaüs. Elle tient à ce que le street art reste un acte militant.

On retrouve dans ses expositions un engagement fort sur ces thèmes, Kashink n’hésitant pas à se diversifier dans ses techniques de travail : installations, céramique, photo, vidéo… Ce travail ayant ét remarqué en galerie, elle participe de septembre 2012 à mars 2013 à la Biennale d’art contemporain du Havre. En 2016 est sortie sa première monographie « Kashink – Premières années à Paris, 2001 – 2015 ».

JOBER #1

Baigné au rap et aux comics, il ne tarde pas à s’emparer du crayon et du papier. Dessinateur compulsif au pied de la Défense, qui devient vite son terrain de jeu, il se met au graffiti au début des années 2000.
Fresques, toiles, fanzines, bandes dessinées, sculptures, JOBER travaille ses bases en variant les plaisirs. Hasard ou coïncidence, les frontières européennes s’estompent sous les rails des réseaux ferroviaires peu de temps avant que l’envie lui gratte de partir à la découverte d’autres décors, marquant ses étapes dans les gares d’Allemagne, Belgique, Hollande, Serbie, Italie, Norvège et Portugal, sorte de carnet de voyage in situ.

JOBER aime faire vibrer le trait espiègle de son humeur rieuse. Ce tracé trépident et précis qui s’attarde sur autant de détails qu’il répand dans tous les coins pour y emmener les yeux errants qu’on peine à récupérer.

Illustrations bavardes, démultiplications des inspirations et des supports, détours et curiosités, avec un intérêt prononcé pour les mythologies urbaines et les ghettos antiques.

JOBER poursuit sur cette lancée d’explorateurs des paysages modernes, sur papiers, toiles, murs et quantités d’autres prétextes où se mêlent son attrait pour le figuratif et sa griffe minutieuse.

En juillet 2016, il produit une fresque avec POES au festival Rose Béton et en octobre il expose à Toulouse pour l’exposition « Mister Freeze ».

JOBER #2

Baigné au rap et aux comics, il ne tarde pas à s’emparer du crayon et du papier. Dessinateur compulsif au pied de la Défense, qui devient vite son terrain de jeu, il se met au graffiti au début des années 2000.
Fresques, toiles, fanzines, bandes dessinées, sculptures, JOBER travaille ses bases en variant les plaisirs. Hasard ou coïncidence, les frontières européennes s’estompent sous les rails des réseaux ferroviaires peu de temps avant que l’envie lui gratte de partir à la découverte d’autres décors, marquant ses étapes dans les gares d’Allemagne, Belgique, Hollande, Serbie, Italie, Norvège et Portugal, sorte de carnet de voyage in situ.

JOBER aime faire vibrer le trait espiègle de son humeur rieuse. Ce tracé trépident et précis qui s’attarde sur autant de détails qu’il répand dans tous les coins pour y emmener les yeux errants qu’on peine à récupérer.

Illustrations bavardes, démultiplications des inspirations et des supports, détours et curiosités, avec un intérêt prononcé pour les mythologies urbaines et les ghettos antiques.

JOBER poursuit sur cette lancée d’explorateurs des paysages modernes, sur papiers, toiles, murs et quantités d’autres prétextes où se mêlent son attrait pour le figuratif et sa griffe minutieuse.

En juillet 2016, il produit une fresque avec POES au festival Rose Béton et en octobre il expose à Toulouse pour l’exposition « Mister Freeze ».

MISTER PEE

Mister Pee est un graphiste-illustrateur, créateur du personnage Mister Pee du magazine Sciences et Vie Découvertes.

Il réalise des collages de son personnage fétiche dans les rues de Paris.

PIMAX #1

Street artiste parisien, Pimax est connu pour ses pochoirs « Goldorak » qu’il parsème dans toute la capitale.

L’univers de Pimax est décalé et hérité du Pop Art.

PIMAX #2

Street artiste parisien, Pimax est connu pour ses pochoirs « Goldorak » qu’il parsème dans toute la capitale.

L’univers de Pimax est décalé et hérité du Pop Art.

TEAM #1

TEAM #2

TEAM #3

TEAM #4

TEAM #5

TEAM #6

VINIE #1

Artiste peintre, graffeuse, directrice artistique.

Originaire de Toulouse, Vinie dessine et peint depuis son enfance. Mais c’est au lycée qu’elle s’initie au graffiti.

Le lettrage et le travail précis sur la lettre qu’il impose lui permettent petit à petit de maîtriser cette nouvelle technique.
Les jams et autres fresques à thèmes la poussent à se diversifier vers la création de décors et de personnages.

Un poste de directrice artistiques la mène à Paris en 2007.

A son arrivée, elle se tourne intuitivement vers un travail figuratif plus personnel, moins réaliste. Elle expose alors sur les murs de la capitale son personnage.

Une figure féminine à mi-chemin entre poupée et pin-up que l’on reconnait à sa coiffure, faite de tags, flops et dédicaces diverses. Ce sont ses cheveux qui changent, imprimant au travail de Vinie une ligne directrice forte. Le contraste entre les lignes épurées du personnage et les facettes du graffiti présents dans les cheveux reflète parfaitement l’univers graphique de cette artiste.

Moderne ou rétro, entre l’esthétique des pin-up des années 50 et celle des mangas, teinté de pop et résolument « hip-hop ». En 2013, sa rencontre avec Anti a permis à Vinie d’ajouter encore une corde à son arc. Avec cet artiste plasticien, elle découvre un tout autre monde : celui du volume.

VINIE #2

Artiste peintre, graffeuse, directrice artistique.

Originaire de Toulouse, Vinie dessine et peint depuis son enfance. Mais c’est au lycée qu’elle s’initie au graffiti.

Le lettrage et le travail précis sur la lettre qu’il impose lui permettent petit à petit de maîtriser cette nouvelle technique.
Les jams et autres fresques à thèmes la poussent à se diversifier vers la création de décors et de personnages.

Un poste de directrice artistiques la mène à Paris en 2007.

A son arrivée, elle se tourne intuitivement vers un travail figuratif plus personnel, moins réaliste. Elle expose alors sur les murs de la capitale son personnage.

Une figure féminine à mi-chemin entre poupée et pin-up que l’on reconnait à sa coiffure, faite de tags, flops et dédicaces diverses. Ce sont ses cheveux qui changent, imprimant au travail de Vinie une ligne directrice forte. Le contraste entre les lignes épurées du personnage et les facettes du graffiti présents dans les cheveux reflète parfaitement l’univers graphique de cette artiste.

Moderne ou rétro, entre l’esthétique des pin-up des années 50 et celle des mangas, teinté de pop et résolument « hip-hop ». En 2013, sa rencontre avec Anti a permis à Vinie d’ajouter encore une corde à son arc. Avec cet artiste plasticien, elle découvre un tout autre monde : celui du volume.

VINIE #3

Artiste peintre, graffeuse, directrice artistique.

Originaire de Toulouse, Vinie dessine et peint depuis son enfance. Mais c’est au lycée qu’elle s’initie au graffiti.

Le lettrage et le travail précis sur la lettre qu’il impose lui permettent petit à petit de maîtriser cette nouvelle technique.
Les jams et autres fresques à thèmes la poussent à se diversifier vers la création de décors et de personnages.

Un poste de directrice artistiques la mène à Paris en 2007.

A son arrivée, elle se tourne intuitivement vers un travail figuratif plus personnel, moins réaliste. Elle expose alors sur les murs de la capitale son personnage.

Une figure féminine à mi-chemin entre poupée et pin-up que l’on reconnait à sa coiffure, faite de tags, flops et dédicaces diverses. Ce sont ses cheveux qui changent, imprimant au travail de Vinie une ligne directrice forte. Le contraste entre les lignes épurées du personnage et les facettes du graffiti présents dans les cheveux reflète parfaitement l’univers graphique de cette artiste.

Moderne ou rétro, entre l’esthétique des pin-up des années 50 et celle des mangas, teinté de pop et résolument « hip-hop ». En 2013, sa rencontre avec Anti a permis à Vinie d’ajouter encore une corde à son arc. Avec cet artiste plasticien, elle découvre un tout autre monde : celui du volume.

VINIE #4

Artiste peintre, graffeuse, directrice artistique.

Originaire de Toulouse, Vinie dessine et peint depuis son enfance. Mais c’est au lycée qu’elle s’initie au graffiti.

Le lettrage et le travail précis sur la lettre qu’il impose lui permettent petit à petit de maîtriser cette nouvelle technique.
Les jams et autres fresques à thèmes la poussent à se diversifier vers la création de décors et de personnages.

Un poste de directrice artistiques la mène à Paris en 2007.

A son arrivée, elle se tourne intuitivement vers un travail figuratif plus personnel, moins réaliste. Elle expose alors sur les murs de la capitale son personnage.

Une figure féminine à mi-chemin entre poupée et pin-up que l’on reconnait à sa coiffure, faite de tags, flops et dédicaces diverses. Ce sont ses cheveux qui changent, imprimant au travail de Vinie une ligne directrice forte. Le contraste entre les lignes épurées du personnage et les facettes du graffiti présents dans les cheveux reflète parfaitement l’univers graphique de cette artiste.

Moderne ou rétro, entre l’esthétique des pin-up des années 50 et celle des mangas, teinté de pop et résolument « hip-hop ». En 2013, sa rencontre avec Anti a permis à Vinie d’ajouter encore une corde à son arc. Avec cet artiste plasticien, elle découvre un tout autre monde : celui du volume.

YOSH

Yosh fait son entrée dans l’univers du street art dans les années 90.

Du lettrage au graffiti, sa touche naît à travers son nom « Yosh » au milieu duquel il remplace le « o » par un poisson, ce dernier deviendra son signe distinctif, presque une signature.
Le fameux poisson Yosh est vite accompagné de nombreux autres personnages baignant dans un flot de couleurs vives. Opérant sur le terrain, le bouche à oreille créé sa réputation et attire les galeries urbaines et autres établissements de street-art.

Ses œuvres ont été présentées notamment lors de l’exposition Keith Haring au 104 en 2014.

Street Art - Ascenseurs rue de Mouzaïa

Street Art - rue de Mouzaïa

Fresque extérieur - rue de Mouzaïa

Bonbonnes de peinture - rue de Mouzaïa

Fresque Catherine Val

Cette fresque murale est une véritable passerelle entre les passants de la rue Mouzaïa et les locataires et occupants de l'immeuble brutaliste. 

Le street art mis en avant dans la résidence

Un important travail de restauration et mise en avant a été fait par les équipes de travaux pour eprmettre aux locataires de connaître le passé de la résidence Mouzaïa. 

Façade arrière de la résidence Mouzaïa

Béton et menuiseries bois façonnent l'identité de ce bâtiment.